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Ne
reliant pas ce que je t’écris.
Ne relis
pas ce que je t’écris
L’attente
exaspère nos désirs,
Océan
d’inter-prêt-à tions,
Où les
certitudes s’éclaircissent
Dans les
ténèbres de l’absence.
Reliés
par les mots de nos caresses,
Textes
de nos corps s’explorant.
Pleurs
de l’infini.
Paris, le 15 aout 1995-10h15
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